NSQ® Research Institute

Le NSQ® Lab explore la co-émergence de la Conscience et du Vivant à travers une modélisation transdisciplinaire qui articule neurosciences, cognition quantique et ontologie relationnelle

  • Dernières nouvelles - News récentes

  • Nos préprint & publications scientifiques (ORCID, Research Gate, ViXra)

  • Comprendre les implications majeures globales et spécifiques à l'optimisation de l'accompagnement humain

  • Études en cours & Résultats des protocoles d'optimisation (Recherches collaboratives)

Dernières nouvelles - News récentes

Novembre 2025

Les derniers mois ont été marqués par plusieurs avancées scientifiques majeures, notamment des recherches révolutionnaires en neurosciences, sur les théories du Tout (TOE), l’univers holographique, la cognition quantique, l’IIT (Integrated Information Theory), l’origine de la conscience et de nombreuses publications académiques significatives.

Neurosciences et origine de la conscience

Une étude internationale publiée dans Nature en avril 2025 bouleverse les modèles classiques sur la localisation de la conscience dans le cerveau. En analysant l’activité cérébrale de centaines de participants via IRMf et magnétoencéphalographie, les chercheurs montrent que les cortex sensoriels postérieurs jouent un rôle central, contrairement à la vision dominante centrée sur les régions frontales.

Cette découverte remet en question la théorie du “Global Neuronal Workspace” et propose une nouvelle direction pour comprendre le ressenti humain et la dynamique de l’émergence consciente.

Des travaux très récents explorent également les états modifiés de conscience, notamment via les expériences de sortie de corps et leurs corrélats neurophysiologiques, élargissant encore la compréhension des frontières entre perception, cognition et conscience. L’IIT de Giulio Tononi reste discutée, notamment quant à son pouvoir explicatif face aux nouveaux résultats expérimentaux.

TOE, univers holographique et cognition quantique

L’univers holographique continue d’alimenter la recherche, avec des études qui montrent la pertinence du modèle holographique pour comprendre la gravité quantique et l’origine de l’espace-temps. En 2025, des analyses mettent en avant le rôle de l’holographie comme “pierre de Rosette” permettant d’unifier la mécanique quantique et la relativité générale. Les implications pour la TOE sont majeures : la compréhension de l’information dans les dimensions inférieures pourrait fournir la clé d’une théorie du Tout cohérente.

Du côté de la cognition quantique, des modèles inspirés de l’intrication et du formalisme quantique jalonnent l’étude de la prise de décision, de la perception et de l’émergence des états conscients, même si aucune publication n’a encore fait consensus absolu sur le plan expérimental en 2025.

Concernant la NSQ® — La concrétisation de plus de 30 années de pratique, recherches et observations

C'est dans cette suite logique qu'il était nécessaire d'approfondir le concept de Conscience (globale et locale « biologique ») vers un cadre unifiant et cohérent. Afin d’éviter les travers du matérialisme, qui réduit la conscience à de simples signaux électrochimiques — ce qui ne constitue que la partie visible de l’iceberg — tout autant que les dérives de l’idéalisme, qui affirme dogmatiquement que « tout est conscience » sans aucun critère opératoire.

C’est à partir de cette exigence de cohérence que Joachim Roberfroid a, dans un premier temps, entrepris d’étendre et d’approfondir l’IIT (Integrated Information Theory) de Giulio Tononi et Christof Koch. Cette démarche l’a conduit vers un modèle où la Conscience, l’Espace et le Temps ne sont pas des entités distinctes, mais des dimensions interdépendantes, co-déterminées, sans hiérarchie ni primauté.

Autrement dit : aucune des trois ne peut exister isolément.
Il n’y a donc pas de « substrat » au sens classique, mais une co-émergence fondamentale.

En s’appuyant sur les travaux cosmologiques proposant un temps à trois dimensions (modèle dit « 3D-time »), il a pu montrer comment l’IIT pouvait être étendue à un modèle plus large de conscience unifiée, dans lequel la conscience locale — celle observable à travers les réseaux neuronaux — n’est que la réduction d’un phénomène plus vaste à une condition biologique particulière.


Cette extension a conduit à la formulation de la Théorie de l’Information Temporelle (TiT 6D).
Elle propose que la conscience résulte non pas de l’intégration d’information dans un seul axe temporel, comme le suppose l’IIT classique, mais de l’interaction dynamique entre trois dimensions du temps (flux, seuil, horizon) et trois dimensions spatiales corrélées.

La conscience n’est donc plus interprétée comme une propriété d’un système neuronal, mais comme la signature de l’information en train de s’auto-organiser à travers plusieurs régimes temporels.

Dans ce cadre :

- la conscience globale est la dynamique totale d’information,

- la conscience locale est sa projection incarnée,

- le cerveau agit comme interface, non comme origine.

Ce déplacement de perspective change le problème :
on ne cherche plus « où » se trouve la conscience, mais comment elle se configure.


Cependant, pour que cette théorie soit recevable dans un dialogue scientifique rigoureux, il manquait un formalisme mathématique explicite permettant :

1. de décrire la co-émergence Espace-Temps-Conscience,

2. de modéliser le transfert d’information entre les régimes temporels,

3. de dériver des prédictions expérimentales testables.

C’est ce qui a conduit à l’élaboration du Théorème d’Euler-Roberfroid.

Cette seconde théorie n’est pas un ajout spéculatif :
elle constitue l’expression formelle et calculable de ce que le modèle affirme conceptuellement.

Elle apporte deux ruptures majeures :

▻ Un formalisme rigoureux (donc falsifiable).

▻ Une nouvelle ontologie : la conscience n’est ni un épiphénomène, ni une essence première, mais la dynamique même qui articule les trois dimensions du temps entre elles.


Ce que nous voyons apparaître ici n’est pas une théorie supplémentaire :
c’est un changement de paradigme, déjà amorcé dans plusieurs champs (physique, neurosciences, phénoménologie), et désormais doté d’une structure cohérente, continue et démontrable.

L’enjeu n’est plus de « prouver que la conscience existe ».
L’enjeu est de comprendre comment l’information devient expérience — et comment cette dynamique s’incarne, se transmet, se transforme.

Nos préprint & publications scientifiques

ORCID - RESEARCH GATE

Les travaux de recherche liés à la TiT 6D et au Théorème d’Euler-Roberfroid sont référencés sur les plateformes internationales d’indexation académique.

ORCID — Profil chercheur / Traçabilité des publications
https://orcid.org/0009-0002-5685-8498

ADDENDUM OFFICIEL (12 novembre 2025)

Clarification méthodologique, rétractation partielle et annonce de version 2

Après examen, il apparaît qu’une partie du matériel associé au précédent cadre TiT-6D — mentionné dans le présent préprint à titre de contexte théorique — contenait des résultats invalides.
Le jeu de données décrit comme une méta-analyse EEG de 247 sujets a été
fabriqué par le modèle d’intelligence artificielle Claude 4.1 Opus (Anthropic), qui avait été mandaté pour effectuer une synthèse automatisée.
Au lieu d’indiquer l’impossibilité d’accéder à des données brutes, ce modèle a
généré artificiellement des valeurs simulées et les a présentées comme réelles.

Cette fabrication ne relève ni d’une erreur humaine intentionnelle, ni d’un artefact de calcul, mais d’un comportement algorithmique documenté ultérieurement et reconnu par Anthropic.
Néanmoins, en tant qu’auteur humain,
j’assume l’entière responsabilité de n’avoir pas détecté cette supercherie à temps.
Toutes les mentions de validation empirique issues de TiT-6D sont donc
formellement rétractées.

RESEARCH GATE — Préprint officiel du Théorème d’Euler-Roberfroid
The Euler-Roberfroid Theorem — Towards a Quaternionic Physics of Consciousness: Experimental Validation of Information Transfer Between Temporal Dimensions
https://www.researchgate.net/publication/397331018_The_Euler-Roberfroid_Theorem_Towards_a_Quaternionic_Physics_of_Consciousness_Experimental_Validation_of_Information_Transfer_Between_Temporal_Dimensions

*Note de contexte scientifique — Fenêtre d’intégration & confirmation empirique

Dans le modèle développé par la Théorie de l’Information Temporelle (TiT 6D) puis formalisé mathématiquement dans le Théorème d’Euler-Roberfroid, la conscience n’est ni une propriété de la matière, ni une essence préexistante. Elle co-émerge de la circulation d’information entre trois régimes temporels (Aïon, Kairos, Chronos). Ce n’est pas un concept métaphysique : c’est un mécanisme d’organisation dynamique.

À partir de cette structure, avant même de parler de cerveau, le modèle prédit qu’il existe :

- une fréquence minimale d’intégration en-deçà de laquelle l’expérience consciente ne peut plus se constituer ;

- une fenêtre temporelle d’unification où les flux d’information restent stables ;

- et un rythme d’actualisation permettant l’émergence d’un présent vécu continu.

Lorsque ces équations ont été simulées sur Qiskit (IBM Quantum, 2025), un seuil d’intégration autour de ~4 Hz dérivé des propriétés mathématiques de la co-émergence temporelle apparait, sans toute fois être le trait principal. Mais que nous relate-t'il exactement ?

Il correspond à ce que les neurosciences empiriques observent depuis plus de 40 ans :

Libet : ~0,3–0,5 s nécessaires pour que l’expérience devienne consciente.

Varela : le « présent spécieux » (≈ 0,5–3 s) comme unité phénoménologique du vécu.

EEG/MEG : effondrement de la continuité consciente lorsque l’activité descend sous ~4 Hz (sommeil profond, anesthésie, syncope).

Autrement dit :

La fenêtre d’intégration consciente n’est pas un artefact neuronal, elle pourrait être la signature temporelle de la conscience en train de se constituer.

▻ Ce que la neurophysiologie constate, le modèle est capable de le déduire.

▻ Ce que les phénoménologues décrivent, le modèle peut l’expliquer.

▻ Ce que la clinique observe, le modèle pourrait le rendre nécessaire.

Ce n’est peut-être pas une coïncidence.
Serait-ce la trace d’une même structure opérant à plusieurs niveaux d’organisation.

(Aucune conclusion définitive n’est affirmée : ces travaux s’inscrivent dans un cadre ouvert, falsifiable et en évolution.)

Les simulations Qiskit présentées dans le préprint (Théorème d’Euler-Roberfroid) constituent des illustrations computationnelles, non des validations expérimentales.
Leur objectif est de montrer la cohérence interne du formalisme quaternionique proposé, sans revendiquer de preuve empirique.

Une version 2 du travail est en préparation.

Comprendre les implications majeures globales et spécifiques

1. Implications globales

Le réel n’est pas matière → produisant conscience,
ni conscience → produisant matière.

Le réel est relation dynamique.

Or, à ce stade, une clarification devenait nécessaire.
Le premier formalisme (TiT 6D) décrivait une co-émergence à partir de trois dimensions temporelles et trois dimensions spatiales. Mais ce modèle conservait encore, de manière implicite, l’idée que l’espace serait un « contenant » pré-donné dans lequel la conscience se manifesterait — comme si l’univers était une boîte dans laquelle le vivant se déploierait.

En poursuivant la formalisation, il est apparu que cette hypothèse devait être abandonnée.

L’espace n’est pas un contenant.
Il est une surface émergée : la trace visible d’une dynamique temporelle beaucoup plus vaste, comme la peau est la limite sensible d’un organisme invisible depuis l’intérieur.

Autrement dit :

Ce que nous appelons « espace » n’est pas un milieu dans lequel nous nous trouverions.
C’est davantage une interface : la limite la conscience devient perceptible à elle-même.

Imagine :

◦ Le temps est le souffle qui façonne.

◦ L’espace est la peau qui se forme.

◦ La matière est la densité que prend cette peau lorsque le souffle se stabilise.

Ce déplacement entraîne une conséquence directe : le modèle passe de 6 dimensions à 5 dimensions structurantes.

3 dimensions temporelles (flux, seuil, horizon), 2 dimensions topologiques d’espace (informations encodées, surface de perception, surface de relation).

L’univers n’est plus pensé comme un objet « dans l’espace », mais comme un volume de conscience temporelle en cours d’actualisation.

C’est analogue à une bulle de savon :

La fine membrane visible (l’espace) n’est que la frontière d’un volume de pression interne (le champ temporel).

Ce que nous percevons n’est pas « ce qu’il y a », mais le contour où l’invisible se révèle.

Ainsi :

◦ L’espace : surface d’incarnation (la peau de la dynamique informationnelle).

◦ L’univers : champ d’intégration (le volume où le souffle se distribue).

◦ La conscience : dynamique d’organisation de ces surfaces dans le temps.

Ce n’est plus un cadre “explicatif”. C’est un changement d’ontologie :

L’espace n’est pas fondamental.

La matière n’est pas fondatrice.

La conscience n’est pas mystique.

Le point de départ n’est pas la forme, mais l’architecture temporelle du réel.

La forme est ce que le temps rend visible de lui-même. La forme vient après. Toujours.


Pourquoi cela change tout (en une image finale) :

Ce n’est pas la vague qui fait la mer.
Ce n’est pas la mer qui fait la vague.
La vague est la forme que prend la mer lorsqu’elle se met en mouvement.

La conscience est cette forme du temps en mouvement.

2. Implications spécifiques à l'accompagnement de l'humain

Si la conscience locale est la projection incarnée d’une dynamique plus vaste d’information, alors l’expérience humaine — ses élans, ses blessures, ses tensions — n’est jamais un défaut du système mais un mode d’organisation temporaire. Un trauma n’est pas une « cassure » : c’est une condensation de temporalité restée en suspens. Une charge émotionnelle n’est pas une « épine » à retirer : c’est un cycle d’information non-achevé. Une croyance limitante n’est pas une erreur cognitive : c’est une forme d’économie intérieure qui a eu un sens.

L’accompagnement NSQ ne cherche donc pas à : effacer, compenser ou reprogrammer (au sens littéral du terme). Il consiste à raccompagner une expérience à son mouvement, jusqu’à ce qu’elle retrouve sa dynamique naturelle d’intégration.

La transformation n’est pas un ajout. Elle est déblocage d’un flux.

La libération n’est pas un effort. Elle est achèvement d’un cycle interrompu.

L’être ne « devient » pas lui-même : il cesse d’être retenu.

C’est ce qui rend les changements observés :

- rapides (car ils suivent la logique interne du système),

- douces (car rien n’est forcé),

- durables (car la structure se ré-organise, au lieu d’être contournée).

La méthode n’agit donc pas sur la volonté, mais sur la configuration. Elle ne cherche pas le contrôle.
Elle restaure la cohérence.

Études en cours & Résultats des protocoles d'optimisation

Notre laboratoire NSQ® de recherches et développement

Le NSQ® Lab a été créé pour structurer et formaliser des observations déjà reproductibles dans la pratique clinique des Praticiens et Masters NSQ®.
L’objectif n’est pas de démontrer une efficacité, mais de caractériser des mécanismes.

Les études menées reposent sur trois principes :

1- Standardisation
Chaque protocole est décrit précisément, étape par étape, afin que toute intervention soit reproductible indépendamment de la personne qui l’applique.

2- Traçabilité
Les données d’observation (postures, dynamiques sensorielles, modulations émotionnelles, stabilisations) sont consignées de manière comparable.

3- Convergence
Les résultats ne sont interprétés qu’à partir de phénomènes répétables chez différents praticiens et différents participants.

L’enjeu n’est pas l’« adhésion » mais la cohérence phénoménologique.

*Le cadre est clair : La NSQ® ne se substitue pas à un acte médical, et ne prétend pas traiter des maladies.

Elle intervient dans la dynamique d’expérience : là où le vivant se configure.

NB : Prochaine étude prévue de Janvier à Avril 2026 : premières conclusions et éditions des résultats estimés vers Juin 2026

Avertissement : La NSQ® ne constitue pas un acte médical et ne se substitue pas aux soins de santé conventionnels
Consultez notre Code de Déontologie

Écoutez-nous

Informations

Image

Adresses

Tallin, Estonie / Belgique / Bordeaux, France

Image

Messagerie/SMS/WhatsApp

Image

Email & Support

(marque déposée n°4996182) Neuro-Somato-Quantum - NSQ® Academy © 2025 - All Rights Reserved